Vous avez manqué le coche de la Sainte-Catherine ? Elle ne vous en voudra pas si vous plantez maintenant rosiers tel le sublime « Never Forget » créé par le talentueux rosiériste Fabien Ducher, arbustes et arbres – sauf en cas de gel.
Pensez aux magnolias, merveilleux et romantiques, au cognassier du Japon, cette belle rosacée qui illuminera le début du printemps, dès les premiers jours de mars, de ses belles fleurs rouge fuchsia.
Plutôt qu’un palmier dont vous ne verriez jamais les dattes, pourquoi ne pas planter un chêne truffier ?
La variété « pubescent » est celle qui se prête le mieux au sol, à dominante calcaire, et au climat, plutôt chaud et sec, de notre région. L’Institut national de la recherche agrono- mique (INRA) a mis au point des plants de chêne où ont été introduites des spores de Tuber melanosporum, le nom de la variété de la truffe française (la truffe blanche d’Alba étant appelée Tuber magnatum). Il faudra attendre un « certain temps » avant que vous ne dégustiez vos truffes plutôt que celles produites en Provence et dans le Périgord et que vous fassiez fortune en les revendant – ce prestigieux champi- gnon est coté, selon les récoltes (50 tonnes en moyenne par an pour la France) entre 800 et 1 300 € le kilo !
